Le fameux TBI…Pour certains
enseignants, de nombreux avantages découlent de
son utilisation, que ce soit le pilotage de projets de robotique ou la plus
grande participation des élèves réservés. Afin d’en apprendre davantage, je
vous invite à visionner cette vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=RgAhlbMc0dU
Je crois que le TBI nécessite une
période d’appropriation et d’adaptation autant pour l’enseignant que pour les
élèves. Toutefois, elle peut être relativement longue si on doit compter sur de
multiples formations et son exploration durant les temps libres. Trop souvent,
le TBI n’est pas exploité à son plein potentiel et il est un projecteur
drôlement coûteux. De plus, malgré la planification d’un plan B, la gestion de
classe peut devenir facilement chaotique si l’enseignant affronte un problème technique
durant une activité nécessitant le TBI.
En fait, comme future enseignante en
adaptation scolaire, j’aimerais connaître et maîtriser les possibilités que le
TBI offre quant à la différenciation pédagogique. Je ne veux pas seulement
importer des SAÉ d’une banque de données. En ce qui concerne le TBI, je ne suis pas encore
convaincue du slogan « Au-delà de la techno, la pédago» et je préférerais un portable pour chacun de mes élèves. En fait, les dépenses monétaires
devraient être priorisées pour répondre à des besoins plus importants comme les services
professionnels (psychoéducateur, orthophoniste, etc) ou le soutien technique en
informatique.
Finalement, le réel
problème est de croire que les TIC peuvent contrer ou prévenir le décrochage
scolaire, car l’impact du TBI sur la réussite n’est pas démontré. L’ancien
premier ministre Charest identifiait la réduction significative du taux de
décrochage scolaire comme étant le